Les cellules sanguines sont produites dans la moelle osseuse. Les trois types de cellules sanguines sont: les globules rouges qui transportent l'oxygène, les globules blancs ou leucocytes qui combattent les infections et les plaquettes, également appelées thrombocytes, qui participent à la coagulation du sang.
Lorsqu'un vaisseau sanguin est endommagé, les plaquettes viennent se coller à sa surface et libèrent des substances chimiques. Ces substances chimiques attirent d'autres plaquettes, ainsi que des globules rouges, afin de former un caillot ou thrombus. Plus le caillot grossit, plus le vaisseau sanguin rétrécit, ce qui a pour effet de diminuer la perte sanguine. Ce processus est appelé coagulation.
Le nombre normal de plaquettes se situe entre 150 000 et 350 000 plaquettes par microlitre. La thrombopénie est un trouble au cours duquel l'individu manque de plaquettes. Lorsque le nombre de plaquettes diminue, l'organisme n'est plus en mesure de former des caillots et donc de contrôler les saignements. La formation de bleus et l'apparition de saignements sont possibles, même en cas de traumatisme relativement mineur. Lorsque le nombre de plaquettes est inférieur à 10 000 plaquettes par microlitre, des saignements peuvent survenir sans qu'aucun traumatisme n'ait lieu.
La thrombopénie post-chimiothérapie est un effet secondaire de la chimiothérapie. Les anticancéreux ne tuent pas que les cellules cancéreuses, ils peuvent également endommager les cellules à l'origine de la production des plaquettes dans la moelle osseuse. La gravité de ce trouble dépend du type de chimiothérapie utilisé et de la durée du traitement. Heureusement, la thrombopénie post-chimiothérapie peut être prise en charge par la pratique de transfusions de plaquettes, de traitements supplémentaires, comme les facteurs de croissance de cellules hématopoïétiques ou la greffe de cellules souches.
Santé
vendredi 29 novembre 2013
Leucémie lymphocytaire chronique
Dans la partie creuse de nos os se trouve un corps spongieux appelé moelle osseuse. C'est là que nos cellules souches sont produites. Les cellules souches sont des cellules immatures qui se différencient ensuite en diverses cellules sanguines: les globules rouges, qui transportent l'oxygène à travers le corps; les globules blancs ou lymphocytes, qui combattent les infections; et les plaquettes qui contribuent à la coagulation du sang.
La leucémie lymphocytaire chronique (LLC) est un type de cancer au cours duquel la moelle osseuse produit un nombre excessif de lymphocytes. Le terme « chronique » signifie que les cellules cancéreuses se multiplient lentement et que la maladie se développe sur le long terme. Au cours d'une LLC, les lymphocytes produits sont anormaux et ne sont pas capables de combattre les infections. À mesure que le nombre de lymphocytes anormaux présents dans le sang et la moelle osseuse augmente, on observe que le nombre de globules blancs, de globules rouges et de plaquettes diminue. L'individu touché souffre alors de la fatigue, d'infections récurrentes, d'anémie et d'une prédisposition à l'apparition de bleus.
Aux stades précoces, la leucémie lymphocytaire chronique ne présente généralement aucun symptôme. Le traitement et le pronostic de la maladie dépendent de son stade et de son étendue. Le traitement standard de la LLC inclut "une attente sous surveillance", une chimiothérapie, une radiothérapie, la chirurgie et le traitement par anticorps monoclonaux. La greffe de cellules souches de moelle osseuse constitue une autre option thérapeutique que l'on teste actuellement dans des essais cliniques. La leucémie lymphocytaire chronique est le deuxième type de leucémie le plus fréquent chez l'adulte. Il apparait généralement chez l'adulte d'âge moyen à plus âgé. La LLC est rare chez l'enfant.
N'hésitez pas à discuter avec votre médecin des différentes solutions de traitement possibles. Il est important de discuter avec lui du traitement qui vous conviendra le mieux.
La leucémie lymphocytaire chronique (LLC) est un type de cancer au cours duquel la moelle osseuse produit un nombre excessif de lymphocytes. Le terme « chronique » signifie que les cellules cancéreuses se multiplient lentement et que la maladie se développe sur le long terme. Au cours d'une LLC, les lymphocytes produits sont anormaux et ne sont pas capables de combattre les infections. À mesure que le nombre de lymphocytes anormaux présents dans le sang et la moelle osseuse augmente, on observe que le nombre de globules blancs, de globules rouges et de plaquettes diminue. L'individu touché souffre alors de la fatigue, d'infections récurrentes, d'anémie et d'une prédisposition à l'apparition de bleus.
Aux stades précoces, la leucémie lymphocytaire chronique ne présente généralement aucun symptôme. Le traitement et le pronostic de la maladie dépendent de son stade et de son étendue. Le traitement standard de la LLC inclut "une attente sous surveillance", une chimiothérapie, une radiothérapie, la chirurgie et le traitement par anticorps monoclonaux. La greffe de cellules souches de moelle osseuse constitue une autre option thérapeutique que l'on teste actuellement dans des essais cliniques. La leucémie lymphocytaire chronique est le deuxième type de leucémie le plus fréquent chez l'adulte. Il apparait généralement chez l'adulte d'âge moyen à plus âgé. La LLC est rare chez l'enfant.
N'hésitez pas à discuter avec votre médecin des différentes solutions de traitement possibles. Il est important de discuter avec lui du traitement qui vous conviendra le mieux.
Cathéter veineux central and cathéter veineux périphérique
La chimiothérapie est l'emploi de médicaments chargés de tuer les cellules cancéreuses. Ces médicaments anticancéreux sont généralement administrés par voie intraveineuse (IV), c'est-à-dire qu'ils sont administrés au goutte-à-goutte dans la circulation veineuse selon un rythme préétabli. Avec ce type de traitement, les veines sont soumises à rude épreuve avec parfois pour conséquences l'impossibilité de les solliciter de manière répétée ou à long terme.
Une solution consiste à introduire un cathéter veineux central. Le cathéter veineux central est implanté par voie chirurgicale dans une grosse veine du thorax ou du cou puis conduit jusqu'à la veine cave supérieure. Le cathéter est ensuite maintenu en place sur la poitrine du patient. Une fois inséré, le cathéter veineux central peut être utilisé pour administrer des traitements par voie IV ou pour prélever du sang pour les analyses. Le cathéter veineux central peut rester en place pendant une longue période. Il est une solution avantageuse pour les patients qui ont besoin d'une chimiothérapie au long cours.
Un autre type d'accès veineux à long terme est le cathéter veineux périphérique qui lui est introduit dans une veine du bras ou de la main. Comme pour le cathéter veineux central, il est conduit le long de veines de plus en plus larges jusqu'à la veine cave supérieure. La seule différence est qu'il est introduit dans une veine du bras ou de la main. Comme pour le cathéter veineux central, il est conduit le long de veines de plus en plus larges jusqu'à la veine cave supérieure.
Ces deux types de cathéter permettent un accès veineux à long terme et évitent les piqûres fréquentes. Grâce au cathéter veineux central, certains traitements peuvent même être administrés à domicile. Cependant, ces deux types d'accès veineux comportent un risque d'infection. Il est par conséquent essentiel de respecter des conditions de stérilité et d'hygiène maximales lors de leur utilisation.
Une solution consiste à introduire un cathéter veineux central. Le cathéter veineux central est implanté par voie chirurgicale dans une grosse veine du thorax ou du cou puis conduit jusqu'à la veine cave supérieure. Le cathéter est ensuite maintenu en place sur la poitrine du patient. Une fois inséré, le cathéter veineux central peut être utilisé pour administrer des traitements par voie IV ou pour prélever du sang pour les analyses. Le cathéter veineux central peut rester en place pendant une longue période. Il est une solution avantageuse pour les patients qui ont besoin d'une chimiothérapie au long cours.
Un autre type d'accès veineux à long terme est le cathéter veineux périphérique qui lui est introduit dans une veine du bras ou de la main. Comme pour le cathéter veineux central, il est conduit le long de veines de plus en plus larges jusqu'à la veine cave supérieure. La seule différence est qu'il est introduit dans une veine du bras ou de la main. Comme pour le cathéter veineux central, il est conduit le long de veines de plus en plus larges jusqu'à la veine cave supérieure.
Ces deux types de cathéter permettent un accès veineux à long terme et évitent les piqûres fréquentes. Grâce au cathéter veineux central, certains traitements peuvent même être administrés à domicile. Cependant, ces deux types d'accès veineux comportent un risque d'infection. Il est par conséquent essentiel de respecter des conditions de stérilité et d'hygiène maximales lors de leur utilisation.
Généralités sur le cancer
Le corps humain est constitué de millions de cellules, dont les formes, les tailles et les fonctions sont très diverses. Les cellules sont les structures de base de tous les tissus présents dans l'organisme.
Dans un tissu sain, de nouvelles cellules sont créées au cours d'un processus de division cellulaire appelé mitose. Lorsque la cellule est trop vieille, elle s'auto-détruit et meurt au cours d'un processus appelé apoptose. Un équilibre fragile existe donc entre le nombre de nouvelles cellules créées et le nombre de cellules qui disparaissent chaque jour. Lorsqu'un cancer se développe, cet équilibre s'en trouve rompu et les cellules commencent à se développer de manière anarchique. Ce déséquilibre peut être soit dû à une croissance cellulaire anarchique, soit à la perte de la capacité de la cellule à s'auto-détruire, ce qui entraîne la formation d'une masse de cellules appelée tumeur.
Une tumeur bénigne, c'est-à-dire non cancéreuse est une excroissance de cellules d'apparence normale. Ces cellules restent cantonnées à leur siège d'origine. À l'inverse, les cellules malignes (ou cancéreuses) ont la capacité de migrer (on dit "métastaser") vers d'autres régions du corps par le biais des systèmes circulatoires ou lymphatiques et forment de nouvelles tumeurs dans ces nouvelles zones.
Les cancers portent le nom de l'endroit où ils ont pris naissance. C'est zone est appelée site primaire. Lorsqu'un cancer du poumon se propage vers le cerveau, la tumeur cérébrale est considérée comme une métastase du cancer pulmonaire et non comme un cancer du cerveau. On dit que la tumeur cérébrale est le site secondaire du cancer.
Dans un tissu sain, de nouvelles cellules sont créées au cours d'un processus de division cellulaire appelé mitose. Lorsque la cellule est trop vieille, elle s'auto-détruit et meurt au cours d'un processus appelé apoptose. Un équilibre fragile existe donc entre le nombre de nouvelles cellules créées et le nombre de cellules qui disparaissent chaque jour. Lorsqu'un cancer se développe, cet équilibre s'en trouve rompu et les cellules commencent à se développer de manière anarchique. Ce déséquilibre peut être soit dû à une croissance cellulaire anarchique, soit à la perte de la capacité de la cellule à s'auto-détruire, ce qui entraîne la formation d'une masse de cellules appelée tumeur.
Une tumeur bénigne, c'est-à-dire non cancéreuse est une excroissance de cellules d'apparence normale. Ces cellules restent cantonnées à leur siège d'origine. À l'inverse, les cellules malignes (ou cancéreuses) ont la capacité de migrer (on dit "métastaser") vers d'autres régions du corps par le biais des systèmes circulatoires ou lymphatiques et forment de nouvelles tumeurs dans ces nouvelles zones.
Les cancers portent le nom de l'endroit où ils ont pris naissance. C'est zone est appelée site primaire. Lorsqu'un cancer du poumon se propage vers le cerveau, la tumeur cérébrale est considérée comme une métastase du cancer pulmonaire et non comme un cancer du cerveau. On dit que la tumeur cérébrale est le site secondaire du cancer.
Allogreffe de cellules souches
Les cellules souches sont des cellules spécifiques situées soit dans la moelle osseuse, soit le sang périphérique, qui peuvent se transformer en globules rouges, globules blancs et en plaquettes. L'objectif d'un traitement anticancéreux comme la radiothérapie ou la chimiothérapie est de détruire les cellules cancéreuses. Malheureusement, la moelle osseuse, ainsi que d'autres cellules saines peuvent également être endommagées au cours de ce type de traitement.
L'allogreffe de cellules souches consiste à transplanter des cellules souches saines issues d'un donneur chez un patient atteint de cancer une fois son traitement terminé. Le donneur de cellules souches le plus approprié est un frère ou une sœur du malade, car on obtient dans ce cas une compatibilité optimale des tissus.
Le type de tissu est défini par une paire de marqueurs génétiques présents sur les globules blancs et appelés antigènes d'histocompatibilité. Chacun des membres d'une paire est hérité de la mère et du père de chaque individu. Plus les marqueurs du donneur et du patient sont proches, plus l'allogreffe de cellules souches aura des chances de succès.
Chez les patients qui n'ont pas de famille, il reste la possibilité de chercher le meilleur donneur possible dans une banque de moelle osseuse. Une fois le donneur le plus approprié identifié, les cellules souches de son sang peuvent être récupérées par le biais d'une intervention simple et non chirurgicale appelée aphérèse.
Quelques jours avant le prélèvement, on administre un traitement au patient afin d'encourager les cellules souches à quitter la moelle osseuse et à passer dans la circulation sanguine. Le sang prélevé dans une veine du bras est passé dans un appareil à aphérèse dit « séparateur de cellules » pour récupérer les cellules souches. Les composants sanguins restants sont récupérés et rendus au donneur par un cathéter posé sur l'autre bras.
Les cellules souches sont ensuite réimplantées ou réinjectées par voie intraveineuse. Il faut attendre environ 2 à 3 semaines pour que la greffe "prenne" et commence à produire de nouvelles cellules sanguines saines.
Une réaction appelée "réaction du greffon contre l'hôte" est possible lorsque les cellules du donneur sont reconnues par le corps du patient (l'hôte) comme des corps étrangers. Afin de prévenir ce genre de réactions, ainsi que le rejet de greffe, un traitement est généralement administré au patient pendant 3 à 6 mois suivant la transplantation.
L'allogreffe de cellules souches consiste à transplanter des cellules souches saines issues d'un donneur chez un patient atteint de cancer une fois son traitement terminé. Le donneur de cellules souches le plus approprié est un frère ou une sœur du malade, car on obtient dans ce cas une compatibilité optimale des tissus.
Le type de tissu est défini par une paire de marqueurs génétiques présents sur les globules blancs et appelés antigènes d'histocompatibilité. Chacun des membres d'une paire est hérité de la mère et du père de chaque individu. Plus les marqueurs du donneur et du patient sont proches, plus l'allogreffe de cellules souches aura des chances de succès.
Chez les patients qui n'ont pas de famille, il reste la possibilité de chercher le meilleur donneur possible dans une banque de moelle osseuse. Une fois le donneur le plus approprié identifié, les cellules souches de son sang peuvent être récupérées par le biais d'une intervention simple et non chirurgicale appelée aphérèse.
Quelques jours avant le prélèvement, on administre un traitement au patient afin d'encourager les cellules souches à quitter la moelle osseuse et à passer dans la circulation sanguine. Le sang prélevé dans une veine du bras est passé dans un appareil à aphérèse dit « séparateur de cellules » pour récupérer les cellules souches. Les composants sanguins restants sont récupérés et rendus au donneur par un cathéter posé sur l'autre bras.
Les cellules souches sont ensuite réimplantées ou réinjectées par voie intraveineuse. Il faut attendre environ 2 à 3 semaines pour que la greffe "prenne" et commence à produire de nouvelles cellules sanguines saines.
Une réaction appelée "réaction du greffon contre l'hôte" est possible lorsque les cellules du donneur sont reconnues par le corps du patient (l'hôte) comme des corps étrangers. Afin de prévenir ce genre de réactions, ainsi que le rejet de greffe, un traitement est généralement administré au patient pendant 3 à 6 mois suivant la transplantation.
jeudi 28 novembre 2013
Autogreffe de cellules souches
Les cellules souches sont des cellules spécifiques situées soit dans la moelle osseuse, soit le sang périphérique, qui peuvent se transformer en globules rouges, globules blancs et en plaquettes. L'objectif d'un traitement anticancéreux comme la radiothérapie ou la chimiothérapie est de détruire les cellules cancéreuses. Malheureusement, la moelle osseuse, ainsi que d'autres cellules saines peuvent également être endommagées au cours de ce type de traitement. Au cours d'une autogreffe de cellules souches, des cellules souches provenant de la moelle osseuse du patient sont prélevées avant qu'il ne suive son traitement afin de les conserver intactes.
Les cellules souches peuvent être recueillies de deux manières. La première solution consiste à recueillir les cellules souches présentes dans le sang périphérique. Pour ce faire, on administre un traitement au patient quelques jours avant le prélèvement afin d'encourager les cellules souches à quitter la moelle osseuse et à pénétrer la circulation sanguine. Le sang prélevé dans une veine du bras est passé dans un appareil à aphérèse dit « séparateur de cellules » pour récupérer les cellules souches. Les composants sanguins restants sont récupérés et rendus au patient par un cathéter posé sur l'autre bras.
Si cette méthode ne parvient pas à donner suffisamment de cellules souches, il est possible d'aller les chercher directement dans la moelle osseuse. Pour ce faire, le médecin utilise une seringue spéciale qui va récupérer un échantillon de moelle osseuse dans l'os de la hanche. Une fois récupérée, la moelle osseuse subira certains traitements afin de séparer les cellules souches des autres cellules.
Une fois récupérées, les cellules souches sont congelées. Une fois le traitement anticancéreux terminé, les cellules souches sont décongelées et récupérées à l'aide d'une seringue pour être réinjectées ou retransplantées dans le corps du patient par voie intraveineuse. Dans les deux premières semaines suivant l'intervention, le système immunitaire sera affaibli et la transfusion de plaquettes et de globules rouges est nécessaire. Les cellules souches commenceront pendant ce temps à produire de nouvelles cellules sanguines et à régénérer la moelle osseuse. Une surveillance étroite du patient est essentielle pour s'assurer que la moelle osseuse et le système immunitaire fonctionnement efficacement.
Les cellules souches peuvent être recueillies de deux manières. La première solution consiste à recueillir les cellules souches présentes dans le sang périphérique. Pour ce faire, on administre un traitement au patient quelques jours avant le prélèvement afin d'encourager les cellules souches à quitter la moelle osseuse et à pénétrer la circulation sanguine. Le sang prélevé dans une veine du bras est passé dans un appareil à aphérèse dit « séparateur de cellules » pour récupérer les cellules souches. Les composants sanguins restants sont récupérés et rendus au patient par un cathéter posé sur l'autre bras.
Si cette méthode ne parvient pas à donner suffisamment de cellules souches, il est possible d'aller les chercher directement dans la moelle osseuse. Pour ce faire, le médecin utilise une seringue spéciale qui va récupérer un échantillon de moelle osseuse dans l'os de la hanche. Une fois récupérée, la moelle osseuse subira certains traitements afin de séparer les cellules souches des autres cellules.
Une fois récupérées, les cellules souches sont congelées. Une fois le traitement anticancéreux terminé, les cellules souches sont décongelées et récupérées à l'aide d'une seringue pour être réinjectées ou retransplantées dans le corps du patient par voie intraveineuse. Dans les deux premières semaines suivant l'intervention, le système immunitaire sera affaibli et la transfusion de plaquettes et de globules rouges est nécessaire. Les cellules souches commenceront pendant ce temps à produire de nouvelles cellules sanguines et à régénérer la moelle osseuse. Une surveillance étroite du patient est essentielle pour s'assurer que la moelle osseuse et le système immunitaire fonctionnement efficacement.
Anémie post-chimiothérapie
Les traitements anticancéreux ont pour objectif de cibler et de détruire les cellules cancéreuses dont la croissance est rapide. Malheureusement, ce type de traitement touche également les cellules saines et en particulier les cellules à division rapide. Parmi elles, on compte les cellules des cheveux, du sang, de la moelle osseuse et les cellules des organes reproducteurs.
La moelle osseuse est un matériau mou et spongieux que l'on trouve dans les os longs et qui assure la production des globules rouges. Les globules rouges sont les cellules qui transportent l'oxygène vers d'autres cellules du corps. Leur durée de vie est de 120 jours, c'est pourquoi elles sont constamment régénérées. La chimiothérapie, ainsi que la radiothérapie peuvent modifier la capacité de la moelle osseuse à produire des globules rouges. Lorsque le nombre de globules rouges en circulation dans le sang est trop faible, le corps ne reçoit plus assez d'oxygène. Si le corps est dépourvu d'oxygène, des symptômes comme la fatigue, des vertiges et une difficulté à respirer peuvent survenir. On appelle ce trouble l'anémie.
L'anémie peut être détectée à l'aide d'une simple analyse de sang. En cas d'anémie post-chimiothérapie, des traitements comme l'érythropoïétine sont disponibles. L'érythropoïétine ou EPO est une hormone naturellement produite par le corps au niveau des reins. L'EPO stimule la production de globules rouges par l'organisme. Une forme synthétique d'érythropoïétine est disponible pour le traitement de l'anémie. En cas de manque sévère de globules rouges, une transfusion sanguine peut être nécessaire.
La moelle osseuse est un matériau mou et spongieux que l'on trouve dans les os longs et qui assure la production des globules rouges. Les globules rouges sont les cellules qui transportent l'oxygène vers d'autres cellules du corps. Leur durée de vie est de 120 jours, c'est pourquoi elles sont constamment régénérées. La chimiothérapie, ainsi que la radiothérapie peuvent modifier la capacité de la moelle osseuse à produire des globules rouges. Lorsque le nombre de globules rouges en circulation dans le sang est trop faible, le corps ne reçoit plus assez d'oxygène. Si le corps est dépourvu d'oxygène, des symptômes comme la fatigue, des vertiges et une difficulté à respirer peuvent survenir. On appelle ce trouble l'anémie.
L'anémie peut être détectée à l'aide d'une simple analyse de sang. En cas d'anémie post-chimiothérapie, des traitements comme l'érythropoïétine sont disponibles. L'érythropoïétine ou EPO est une hormone naturellement produite par le corps au niveau des reins. L'EPO stimule la production de globules rouges par l'organisme. Une forme synthétique d'érythropoïétine est disponible pour le traitement de l'anémie. En cas de manque sévère de globules rouges, une transfusion sanguine peut être nécessaire.
Inscription à :
Articles (Atom)