vendredi 29 novembre 2013

Thrombopénie

Les cellules sanguines sont produites dans la moelle osseuse. Les trois types de cellules sanguines sont: les globules rouges qui transportent l'oxygène, les globules blancs ou leucocytes qui combattent les infections et les plaquettes, également appelées thrombocytes, qui participent à la coagulation du sang.

Lorsqu'un vaisseau sanguin est endommagé, les plaquettes viennent se coller à sa surface et libèrent des substances chimiques. Ces substances chimiques attirent d'autres plaquettes, ainsi que des globules rouges, afin de former un caillot ou thrombus. Plus le caillot grossit, plus le vaisseau sanguin rétrécit, ce qui a pour effet de diminuer la perte sanguine. Ce processus est appelé coagulation.

Le nombre normal de plaquettes se situe entre 150 000 et 350 000 plaquettes par microlitre. La thrombopénie est un trouble au cours duquel l'individu manque de plaquettes. Lorsque le nombre de plaquettes diminue, l'organisme n'est plus en mesure de former des caillots et donc de contrôler les saignements. La formation de bleus et l'apparition de saignements sont possibles, même en cas de traumatisme relativement mineur. Lorsque le nombre de plaquettes est inférieur à 10 000 plaquettes par microlitre, des saignements peuvent survenir sans qu'aucun traumatisme n'ait lieu.

La thrombopénie post-chimiothérapie est un effet secondaire de la chimiothérapie. Les anticancéreux ne tuent pas que les cellules cancéreuses, ils peuvent également endommager les cellules à l'origine de la production des plaquettes dans la moelle osseuse. La gravité de ce trouble dépend du type de chimiothérapie utilisé et de la durée du traitement. Heureusement, la thrombopénie post-chimiothérapie peut être prise en charge par la pratique de transfusions de plaquettes, de traitements supplémentaires, comme les facteurs de croissance de cellules hématopoïétiques ou la greffe de cellules souches.

Leucémie lymphocytaire chronique

Dans la partie creuse de nos os se trouve un corps spongieux appelé moelle osseuse. C'est là que nos cellules souches sont produites. Les cellules souches sont des cellules immatures qui se différencient ensuite en diverses cellules sanguines: les globules rouges, qui transportent l'oxygène à travers le corps; les globules blancs ou lymphocytes, qui combattent les infections; et les plaquettes qui contribuent à la coagulation du sang.

La leucémie lymphocytaire chronique (LLC) est un type de cancer au cours duquel la moelle osseuse produit un nombre excessif de lymphocytes. Le terme « chronique » signifie que les cellules cancéreuses se multiplient lentement et que la maladie se développe sur le long terme. Au cours d'une LLC, les lymphocytes produits sont anormaux et ne sont pas capables de combattre les infections. À mesure que le nombre de lymphocytes anormaux présents dans le sang et la moelle osseuse augmente, on observe que le nombre de globules blancs, de globules rouges et de plaquettes diminue. L'individu touché souffre alors de la fatigue, d'infections récurrentes, d'anémie et d'une prédisposition à l'apparition de bleus.

Aux stades précoces, la leucémie lymphocytaire chronique ne présente généralement aucun symptôme. Le traitement et le pronostic de la maladie dépendent de son stade et de son étendue. Le traitement standard de la LLC inclut "une attente sous surveillance", une chimiothérapie, une radiothérapie, la chirurgie et le traitement par anticorps monoclonaux. La greffe de cellules souches de moelle osseuse constitue une autre option thérapeutique que l'on teste actuellement dans des essais cliniques. La leucémie lymphocytaire chronique est le deuxième type de leucémie le plus fréquent chez l'adulte. Il apparait généralement chez l'adulte d'âge moyen à plus âgé. La LLC est rare chez l'enfant.

N'hésitez pas à discuter avec votre médecin des différentes solutions de traitement possibles. Il est important de discuter avec lui du traitement qui vous conviendra le mieux.

Cathéter veineux central and cathéter veineux périphérique

La chimiothérapie est l'emploi de médicaments chargés de tuer les cellules cancéreuses. Ces médicaments anticancéreux sont généralement administrés par voie intraveineuse (IV), c'est-à-dire qu'ils sont administrés au goutte-à-goutte dans la circulation veineuse selon un rythme préétabli. Avec ce type de traitement, les veines sont soumises à rude épreuve avec parfois pour conséquences l'impossibilité de les solliciter de manière répétée ou à long terme.

Une solution consiste à introduire un cathéter veineux central. Le cathéter veineux central est implanté par voie chirurgicale dans une grosse veine du thorax ou du cou puis conduit jusqu'à la veine cave supérieure. Le cathéter est ensuite maintenu en place sur la poitrine du patient. Une fois inséré, le cathéter veineux central peut être utilisé pour administrer des traitements par voie IV ou pour prélever du sang pour les analyses. Le cathéter veineux central peut rester en place pendant une longue période. Il est une solution avantageuse pour les patients qui ont besoin d'une chimiothérapie au long cours.

Un autre type d'accès veineux à long terme est le cathéter veineux périphérique qui lui est introduit dans une veine du bras ou de la main. Comme pour le cathéter veineux central, il est conduit le long de veines de plus en plus larges jusqu'à la veine cave supérieure. La seule différence est qu'il est introduit dans une veine du bras ou de la main. Comme pour le cathéter veineux central, il est conduit le long de veines de plus en plus larges jusqu'à la veine cave supérieure.

Ces deux types de cathéter permettent un accès veineux à long terme et évitent les piqûres fréquentes. Grâce au cathéter veineux central, certains traitements peuvent même être administrés à domicile. Cependant, ces deux types d'accès veineux comportent un risque d'infection. Il est par conséquent essentiel de respecter des conditions de stérilité et d'hygiène maximales lors de leur utilisation.

Généralités sur le cancer

Le corps humain est constitué de millions de cellules, dont les formes, les tailles et les fonctions sont très diverses. Les cellules sont les structures de base de tous les tissus présents dans l'organisme.

Dans un tissu sain, de nouvelles cellules sont créées au cours d'un processus de division cellulaire appelé mitose. Lorsque la cellule est trop vieille, elle s'auto-détruit et meurt au cours d'un processus appelé apoptose. Un équilibre fragile existe donc entre le nombre de nouvelles cellules créées et le nombre de cellules qui disparaissent chaque jour. Lorsqu'un cancer se développe, cet équilibre s'en trouve rompu et les cellules commencent à se développer de manière anarchique. Ce déséquilibre peut être soit dû à une croissance cellulaire anarchique, soit à la perte de la capacité de la cellule à s'auto-détruire, ce qui entraîne la formation d'une masse de cellules appelée tumeur.

Une tumeur bénigne, c'est-à-dire non cancéreuse est une excroissance de cellules d'apparence normale. Ces cellules restent cantonnées à leur siège d'origine. À l'inverse, les cellules malignes (ou cancéreuses) ont la capacité de migrer (on dit "métastaser") vers d'autres régions du corps par le biais des systèmes circulatoires ou lymphatiques et forment de nouvelles tumeurs dans ces nouvelles zones.

Les cancers portent le nom de l'endroit où ils ont pris naissance. C'est zone est appelée site primaire. Lorsqu'un cancer du poumon se propage vers le cerveau, la tumeur cérébrale est considérée comme une métastase du cancer pulmonaire et non comme un cancer du cerveau. On dit que la tumeur cérébrale est le site secondaire du cancer.

Allogreffe de cellules souches

Les cellules souches sont des cellules spécifiques situées soit dans la moelle osseuse, soit le sang périphérique, qui peuvent se transformer en globules rouges, globules blancs et en plaquettes. L'objectif d'un traitement anticancéreux comme la radiothérapie ou la chimiothérapie est de détruire les cellules cancéreuses. Malheureusement, la moelle osseuse, ainsi que d'autres cellules saines peuvent également être endommagées au cours de ce type de traitement.

L'allogreffe de cellules souches consiste à transplanter des cellules souches saines issues d'un donneur chez un patient atteint de cancer une fois son traitement terminé. Le donneur de cellules souches le plus approprié est un frère ou une sœur du malade, car on obtient dans ce cas une compatibilité optimale des tissus.

Le type de tissu est défini par une paire de marqueurs génétiques présents sur les globules blancs et appelés antigènes d'histocompatibilité. Chacun des membres d'une paire est hérité de la mère et du père de chaque individu. Plus les marqueurs du donneur et du patient sont proches, plus l'allogreffe de cellules souches aura des chances de succès.

Chez les patients qui n'ont pas de famille, il reste la possibilité de chercher le meilleur donneur possible dans une banque de moelle osseuse. Une fois le donneur le plus approprié identifié, les cellules souches de son sang peuvent être récupérées par le biais d'une intervention simple et non chirurgicale appelée aphérèse.

Quelques jours avant le prélèvement, on administre un traitement au patient afin d'encourager les cellules souches à quitter la moelle osseuse et à passer dans la circulation sanguine. Le sang prélevé dans une veine du bras est passé dans un appareil à aphérèse dit « séparateur de cellules » pour récupérer les cellules souches. Les composants sanguins restants sont récupérés et rendus au donneur par un cathéter posé sur l'autre bras.

Les cellules souches sont ensuite réimplantées ou réinjectées par voie intraveineuse. Il faut attendre environ 2 à 3 semaines pour que la greffe "prenne" et commence à produire de nouvelles cellules sanguines saines.

Une réaction appelée "réaction du greffon contre l'hôte" est possible lorsque les cellules du donneur sont reconnues par le corps du patient (l'hôte) comme des corps étrangers. Afin de prévenir ce genre de réactions, ainsi que le rejet de greffe, un traitement est généralement administré au patient pendant 3 à 6 mois suivant la transplantation.

jeudi 28 novembre 2013

Autogreffe de cellules souches

Les cellules souches sont des cellules spécifiques situées soit dans la moelle osseuse, soit le sang périphérique, qui peuvent se transformer en globules rouges, globules blancs et en plaquettes. L'objectif d'un traitement anticancéreux comme la radiothérapie ou la chimiothérapie est de détruire les cellules cancéreuses. Malheureusement, la moelle osseuse, ainsi que d'autres cellules saines peuvent également être endommagées au cours de ce type de traitement. Au cours d'une autogreffe de cellules souches, des cellules souches provenant de la moelle osseuse du patient sont prélevées avant qu'il ne suive son traitement afin de les conserver intactes.

Les cellules souches peuvent être recueillies de deux manières. La première solution consiste à recueillir les cellules souches présentes dans le sang périphérique. Pour ce faire, on administre un traitement au patient quelques jours avant le prélèvement afin d'encourager les cellules souches à quitter la moelle osseuse et à pénétrer la circulation sanguine. Le sang prélevé dans une veine du bras est passé dans un appareil à aphérèse dit « séparateur de cellules » pour récupérer les cellules souches. Les composants sanguins restants sont récupérés et rendus au patient par un cathéter posé sur l'autre bras.

Si cette méthode ne parvient pas à donner suffisamment de cellules souches, il est possible d'aller les chercher directement dans la moelle osseuse. Pour ce faire, le médecin utilise une seringue spéciale qui va récupérer un échantillon de moelle osseuse dans l'os de la hanche. Une fois récupérée, la moelle osseuse subira certains traitements afin de séparer les cellules souches des autres cellules.

Une fois récupérées, les cellules souches sont congelées. Une fois le traitement anticancéreux terminé, les cellules souches sont décongelées et récupérées à l'aide d'une seringue pour être réinjectées ou retransplantées dans le corps du patient par voie intraveineuse. Dans les deux premières semaines suivant l'intervention, le système immunitaire sera affaibli et la transfusion de plaquettes et de globules rouges est nécessaire. Les cellules souches commenceront pendant ce temps à produire de nouvelles cellules sanguines et à régénérer la moelle osseuse. Une surveillance étroite du patient est essentielle pour s'assurer que la moelle osseuse et le système immunitaire fonctionnement efficacement.

Anémie post-chimiothérapie

Les traitements anticancéreux ont pour objectif de cibler et de détruire les cellules cancéreuses dont la croissance est rapide. Malheureusement, ce type de traitement touche également les cellules saines et en particulier les cellules à division rapide. Parmi elles, on compte les cellules des cheveux, du sang, de la moelle osseuse et les cellules des organes reproducteurs.

La moelle osseuse est un matériau mou et spongieux que l'on trouve dans les os longs et qui assure la production des globules rouges. Les globules rouges sont les cellules qui transportent l'oxygène vers d'autres cellules du corps. Leur durée de vie est de 120 jours, c'est pourquoi elles sont constamment régénérées. La chimiothérapie, ainsi que la radiothérapie peuvent modifier la capacité de la moelle osseuse à produire des globules rouges. Lorsque le nombre de globules rouges en circulation dans le sang est trop faible, le corps ne reçoit plus assez d'oxygène. Si le corps est dépourvu d'oxygène, des symptômes comme la fatigue, des vertiges et une difficulté à respirer peuvent survenir. On appelle ce trouble l'anémie.

L'anémie peut être détectée à l'aide d'une simple analyse de sang. En cas d'anémie post-chimiothérapie, des traitements comme l'érythropoïétine sont disponibles. L'érythropoïétine ou EPO est une hormone naturellement produite par le corps au niveau des reins. L'EPO stimule la production de globules rouges par l'organisme.  Une forme synthétique d'érythropoïétine est disponible pour le traitement de l'anémie. En cas de manque sévère de globules rouges, une transfusion sanguine peut être nécessaire.

Cancer de l'œsophage

Les aliments et les boissons descendent de la bouche vers l'estomac par l'intermédiaire d'un tube musculaire appelé "œsophage". Il arrive parfois que les cellules de l'œsophage deviennent cancéreuses. Lorsque les cellules de l'œsophage se mettent à se diviser de manière anarchique, on parle de cancer de l'œsophage. Il existe deux types de cancer œsophagien: le cancer à cellules squameuses et l'adénocarcinome.

La muqueuse de l'œsophage est faite de cellules fines et plates appelées cellules squameuses. Le cancer à cellules squameuses se développe dans la partie supérieure et médiane de l'œsophage.

L'œsophage contient non seulement des cellules squameuses, mais également des cellules glandulaires. Les cellules glandulaires fabriquent et sécrètent du mucus et d'autres liquides qui contribuent à la digestion. Si les sucs gastriques remontent le long de la partie inférieure de l'œsophage, ils peuvent irriter les cellules glandulaires et modifier alors leur apparence. Ces modifications peuvent entraîner la formation d'un cancer des cellules glandulaires appelé adénocarcinome.

Les symptômes du cancer œsophagien incluent: une difficulté à déglutir, une perte de poids considérable, des douleurs dans la gorge, le dos et derrière le sternum, des vomissements et une raucité de la voix. Le cancer œsophagien peut ensuite se propager (métastaser) vers d'autres organes du corps.

La chirurgie constitue le traitement le plus fréquent de ces types de cancer. La radiothérapie et la chimiothérapie sont également possibles. De nouveaux types de traitements, comme le traitement laser et la photothérapie dynamique peuvent aider à soulager les symptômes.

Cancer de l'ovaire

Le système reproducteur de la femme est composé de deux ovaires, lesquels sont essentiels dans le rôle de la reproduction. Les ovaires sont reliés aux deux extrémités de l'utérus et sont responsables de la production d'hormones sexuelles, comme les œstrogènes et la progestérone, et de la production des ovules.

Il arrive parfois que le processus bien établi de croissance, de mort et de renouvellement des cellules soit compromis. Les cellules commencent à se développer de manière anarchique. Une tumeur peut alors apparaître sur ou dans les ovaires. La tumeur peut être soit bénigne, soit maligne. Les tumeurs malignes sont appelées cancer. Les deux types les plus courants de cancer de l'ovaire sont la tumeur germinale et le carcinome épithélial. La tumeur germinale prend naissance dans les cellules des ovules situés dans l'enceinte même des ovaires. Le cancer de l'ovaire épithélial se forme à partir des cellules qui tapissent la surface de l'ovaire.

Les symptômes du cancer de l'ovaire comprennent:
•fatigue,
•tension ou douleur dans l'abdomen, le bassin, le dos ou les jambes,
•ventre gonflé ou sensation de pesanteur au niveau du ventre et du bassin,
•nausées, indigestion, gaz, constipation ou diarrhée.

Les tumeurs ovariennes peuvent se propager à d'autres organes au cours d'un processus appelé métastase. Le cancer de l'ovaire peut métastaser de trois manières:
•L'invasion: la tumeur se développe suffisamment en taille pour pouvoir envahir les organes avoisinants
•La desquamation: les cellules cancéreuses se détachent de leur matrice centrale et vont assiéger les organes adjacents
•La dissémination: les cellules cancéreuses passent par le système lymphatique et atteignent les ganglions lymphatiques et d'autres organes du bassin, de l'abdomen et de la poitrine.

Le diagnostic du cancer de l'ovaire est posé après palpation de la zone, examens pelviens, échographie transvaginale, analyse sanguine avec recherche du marqueur CA-125 et biopsie.

Le cancer de l'ovaire est l'une des causes majeures de décès par cancer des organes reproducteurs chez la femme, car il est souvent diagnostiqué tardivement.

Le traitement de ce type de cancer comprend généralement une intervention chirurgicale pour une ablation des ovaires et de tout autre organe potentiellement touché. La chimiothérapie et la radiothérapie peuvent également être utilisées pour traiter d'autres symptômes ou complications de la maladie. Le traitement et le pronostic de ce cancer dépendent du stade auquel il est diagnostiqué.

Valvuloplastie mitrale

Le cœur est un muscle qui bat et pompe le sang pour irriguer l'ensemble de l'organisme. À l'intérieur du cœur quatre valvules dirigent le flux sanguin. Deux valvules contrôlent le flux sanguin depuis les cavités supérieures (ou oreillettes) jusqu'aux cavités inférieures (ou ventricules). Les deux autres valvules contrôlent le flux sanguin provenant des ventricules, l'une vers les poumons, l'autre vers le reste du corps.

Au cours d'un battement cardiaque normal, le sang riche en oxygène passe de l'oreillette gauche vers le ventricule gauche par la valvule mitrale. Il arrive que cette valvule se rétrécisse, se durcisse ou s'épaississe. Cette maladie est appelée "rétrécissement mitral".

La valvuloplastie mitrale consiste à traiter le rétrécissement mitral en élargissant l'embouchure de la valvule mitrale et en rétablissant un flux sanguin normal. Au cours de cette intervention, un fil guide est introduit dans une veine de la jambe et est remonté jusqu'au cœur. Un cathéter à ballonnet est dirigé le long du fil guide et acheminé jusqu'à l'embouchure de la valvule mitrale.

L'extrémité distale du ballonnet est tout d'abord gonflée afin de positionner le ballonnet correctement à l'intérieur de l'embouchure. Le ballonnet entier est ensuite gonflé afin d'élargir l'embouchure de la valvule. Le ballonnet peut être gonflé et dégonflé à plusieurs reprises. Une fois la valvule suffisamment élargie, le cathéter à ballonnet est retiré.

Cette intervention permet au cœur de mieux pomper le sang et donc de réduire la pression dans le cœur et les poumons. Cette intervention comporte plusieurs complications possibles. N'hésitez pas à discuter avec votre médecin des différentes solutions de traitement possibles. Il est important de discuter avec lui du traitement qui vous conviendra le mieux.